PNO: le constat d'huissier, une valeur sûre, même tardif
Un récent cas rappelle que l’assureur ne peut pas se retrancher derrière un délai pour refuser d’indemniser des dommages immobiliers. Dès lors qu’un constat d’huissier est produit, même après le départ du locataire, il fait foi et doit être pris en compte.
Assurance emprunteur : le point de départ de la prescription
En matière d’assurance emprunteur, un sinistre ne suffit pas à déclencher le délai de prescription. La jurisprudence est claire : le compte à rebours ne démarre qu’au refus de l’assureur ou à la demande de paiement de la banque. Un cas récent vient rappeler cette règle déterminante pour les emprunteurs.
La BCE poursuit sa veille économique rigoureuse
À l’issue de sa réunion de politique monétaire, la Banque centrale européenne (BCE) a choisi de ne rien modifier à sa stratégie. Portée par une croissance plus robuste que prévu et une inflation convergeant vers son objectif de 2 %, l’institution de Francfort affiche un certain confort, tout en rappelant qu’elle reste attentive aux nombreux risques qui planent sur l’économie de la zone euro.
Crédit : les obligations font leur grand retour
Après des années dominées par les actions, le marché obligataire regagne en 2025 ses galons d’actif incontournable. Le resserrement des primes de risque, des rendements redevenus attractifs et des taux de défaut contenus incitent les investisseurs à réallouer massivement vers le crédit, en particulier en Europe.
Bourse : Le secteur bancaire résiste à la volatilité
Après une année 2024 marquée par les incertitudes macroéconomiques et monétaires, le secteur bancaire européen aborde 2025 avec une assise financière renforcée. Les fondamentaux, qu’il s’agisse des bilans, des ratios de solvabilité ou de la qualité des actifs, apparaissent solides. En parallèle, le marché obligataire offre un terrain favorable aux établissements, qui profitent de la demande des investisseurs en quête de rendement.
Fiscalité française : un frein à la résidence des riches
La fuite des contribuables fortunés est un sujet récurrent du débat public français. Mais que disent réellement les chiffres ? Une étude du Conseil d’analyse économique (CAE) apporte des données empiriques : l’impact de la fiscalité sur les départs existe, mais reste limité. Au-delà des exils médiatisés, c’est surtout l’optimisation fiscale qui détermine la gestion des patrimoines.

